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Paroles – Le chant des sirènes

5/5

Explications des paroles de la chanson Le chant des sirènes

Le chant des sirènes est une chanson de Fréro Delavega, issue de leur album éponyme Fréro Delavega (2014). Les paroles sont écrites par Jérémy Frérot et Florian Garcia.

Cette chanson évoque la nostalgie de la Nature ainsi que la mélancolie au travers d’une métaphore automnale.

On aborde ici le besoin de se ressourcer, de se reconnecter avec la Nature, une nature sauvage, tempétueuse de bord de mer, avec la houle, le vent, l’eau glacée… On aborde également le besoin de solitude, nécessaire à l’apaisement des sens. Ce temps où l’on se recentre sur Soi, sur ses propres besoins. Un sentiment de mélancolie transparaît dans les paroles, la nostalgie des souvenirs de cette Nature vitale, le manque aussi. 

On aborde également un besoin de changement, à travers la métaphore des saisons :

  • L’automne qui apporte la mélancolie, la tristesse, les Sirènes ! (Les sirènes dans la mythologie sont des êtres qui utilisent séduction et tentation pour retenir leur victime dans une vie de faux plaisirs et de nostalgie).
  • L’hiver qui symbolise la tempête intérieure, le vent qui chamboule, les tourbillons de sable…

Pourtant, cette chanson résonne comme un espoir, une solution : se recentrer, se ressourcer pour parvenir à se délester de « ce vacarme » avant se noyer..

En résumé, cette chanson évoque la tempête émotionnelle que l’on a besoin de calmer en se reconnectant à Soi ainsi qu’à la Nature.

Voici les paroles de la chanson :

Chanson Le chant des sirènes de Fréro Delavega sur la mélancolie, la nostalgie (lyrics) Zen et Zèbre
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Paroles

Enfants des parcs, gamins des plages
Le vent menace les châteaux de sable façonnés de mes doigtsLe temps n’épargne personne hélasLes années passent, l’écho s’évade sur la Dune du PylaAu gré des saisons, des photomatonsJe m’abandonne à ces lueurs d’autrefoisAu gré des saisons, des décisions, je m’abandonne
 
Quand les souvenirs s’en mêlent,
Les larmes me viennentEt le chant des sirènes
Me replonge en hiverOh mélancolie cruelle,
Harmonie fluette,
Euphorie solitaire.
 
Tadalalala, tadalalalaTadalalala, tadalala
 
Combien de farces, combien de frasquesCombien de traces, combien de masquesAvons-nous laissé là-basPoser les armes, prendre le largeTrouver le calme dans ce vacarme avant que je ne m’y noie
 
Au gré des saisons, des photomatonsJe m’abandonne à ces lueurs d’autrefoisAu gré des saisons, des décisions, je m’abandonne
 
Quand les souvenirs s’en mêlent,
Les larmes me viennentEt le chant des sirènes
Me replonge en hiverOh mélancolie cruelle,
Harmonie fluette,
Euphorie solitaire.
 
OhOh
 
Quand les souvenirs s’en mêlent, les larmes me viennentEt le chant des sirènes me replonge en hiverOh mélancolie cruelle, harmonie fluette, euphorie solitaire
 
Quand les souvenirs s’en mêlent, les larmes me viennentEt le chant des sirènes me replonge en hiverOh mélancolie cruelle, harmonie fluette, euphorie solitaire
 
Tadalalala, tadalalalaTadalalala, tadalala
Tadalalala, tadalalalaTadalalala, tadalala
 

Zen & Zèbre

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